C’est peut-être grâce à une fonction support encore peu développée en France que votre entreprise se développera demain. Mieux, c’est peut-être grâce à un employé supplémentaire, aux missions variées, que vos bureaux vont retrouver de l’attractivité. Un nouveau collaborateur que vous ne connaissez pas encore va rejoindre vos rangs. Sa fonction : responsable du bonheur. On vous le présente.
Happiness Manager, ou Chief Happiness Officer, voilà une fonction encore largement méconnue. Mais une fonction qui pourrait demain devenir généralisée dans de nombreuses entreprises. Concrètement, cette appellation désigne un métier encore nouveau aux contours flous mais pourtant essentiel. Comme son nom l’indique, un Happiness Manager (en français “gestionnaire de bonheur”) est un membre des ressources humaines dédié… au bonheur. Il se focalise sur un seul élément : Son rôle est de rendre celles et ceux qui travaillent plus heureux.
Le Happiness Manager peut intervenir dès la phase de recrutement des nouveaux talents. Évidemment, il possède aussi une vraie carte à jouer pour favoriser l’intégration des nouveaux éléments et participer ensuite à leur épanouissement.
Cette fonction vous semble futile ? Et pourtant ! À l’opposé des responsables des ressources humaines parfois focalisés uniquement sur des aspects purement opérationnels, un Happiness Manager possède un regard terrain et peut agir au plus près des besoins.
Le Happiness Manager qui va demain intégrer votre entreprise est là pour mettre tous les collaborateurs dans le bon sens. Le sens de l’épanouissement et du développement personnel. En s’assurant que chacun puisse satisfaire ses besoins et se développer, il apporte une vraie sécurité à la culture d’entreprise et bâti le projet commun.
Le Chief Happiness Officer base sa mission sur la recherche
Votre Happiness Manager est également là pour aider à mettre en place un espace de travail propice à l’épanouissement de chacun. Cela passe comme nous l’avons vu par de petites attentions au quotidien. C’est aussi lui qui peut être le référent pour organiser l’allocation des espaces et leur utilisation optimale. Il peut par exemple se charger de réserver des salles de réunion selon les besoins de vos équipes. Il peut aussi suggérer l’utilisation de certains espaces selon les missions.
Un rôle capital, au service de l’information de la direction pour mieux agir. Mais aussi un rôle d’aide pour tous.
Le Chief Happiness Manager (CHO) “n’est pas le messager du bonheur, mais le diffuseur de sens peut-on lire dans un excellent article dédié au sujet dans la Harvard Busines Review. A ce titre, il doit avoir une vision macro des valeurs de l’entreprise et micro des besoins de chacun. Et il doit maintenir une forte relation avec les différentes parties prenantes internes de l’entreprise : ressources humaines, marketing, communication, événementiel, DSI, managers, dirigeants”.
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